Certains arrivent à briller grâce à leurs existences minuscules. Certains gestes gracieux captivent nos cœurs, car esquissés en toute discrétion. L'Homme a forgé l'esprit noble au fil du temps et cela a fait évoluer notre société. À l'heure actuelle, cet héritage est sur le point de disparaître face aux désirs humains qui ne connaissent plus ses limites. Même l'art, censé refléter l'état de l'âme, risque de lâcher prise de l'esthétique et la maîtrise de soi face à l'engouement des multiples choix sans principe rendus possible par les dernières technologies.

Cependant, à un tel tournant des valeurs, le récit d'un pays est né, en trente-deux photographies soigneusement sélectionnées qui ne cessera jamais d'être raconté. Un instant, un espace capturés par un geste discret, seul un petit appareil photo qui se tient dans la paume de la main a été capable de le réaliser. Le passé, le présent et le futur du pays sont représentés dans ces images. Situé sur la côte d'Azur, Monaco est le deuxième plus petit pays du monde.

Mikiya Takimoto a appuyé sur le bouton de l'appareil avec sérénité comme dans une prière. À travers la succession des paysages, apparait un message, me semble-t-il, qui dirait comment affronter ce monde et sauvegarder cette belle planète.
Partagerez-vous ce sentiment avec moi ?

Naoko Bernadette Ohta

","Certains arrivent à briller grâce à leurs existences minuscules. Certains gestes gracieux captivent nos cœurs, car esquissés en toute discrétion. L'Homme a forgé l'esprit noble au fil du temps et cela a fait évoluer notre société. À l'heure actuelle, cet héritage est sur le point de disparaître face aux désirs humains qui ne connaissent plus ses limites. Même l'art, censé refléter l'état de l'âme, risque de lâcher prise de l'esthétique et la maîtrise de soi face à l'engouement des multiples choix sans principe rendus possible par les dernières technologies.Cependant, à un tel tournant des valeurs, le récit d'un pays est né, en trente-deux photographies soigneusement sélectionnées qui ne cessera jamais d'être raconté. Un instant, un espace capturés par un geste discret, seul un petit appareil photo qui se tient dans la paume de la main a été capable de le réaliser. Le passé, le présent et le futur du pays sont représentés dans ces images. Situé sur la côte d'Azur, Monaco est le deuxième plus petit pays du monde.Mikiya Takimoto a appuyé sur le bouton de l'appareil avec sérénité comme dans une prière. À travers la succession des paysages, apparait un message, me semble-t-il, qui dirait comment affronter ce monde et sauvegarder cette belle planète.Partagerez-vous ce sentiment avec moi ? 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Cet ouvrage rassemble des créations de plusieurs grands chefs et artistes, autour de la vision d’une cuisine anti-gaspi, c’est-à-dire réalisée soit avec un fond de frigidaire, soit en utilisant de manière complète les produits, soit à plus grande échelle grâce à des produits issus des surplus de la grande distribution et des producteurs.

C’est précisément le cas au Refettorio Paris, restaurant solidaire situé place de la Madeleine, dans lequel ces chefs sont tous venus cuisiner et au profit duquel ce livre est réalisé. Un merveilleux ouvrage mêlant cuisine et photographie, contant l’histoire d’une cause noble et d’un projet réussi, immortalisé à travers l'objectif de JR, également auteur de la préface.

Ghislaine Arabian [Les Petites Sorcières] ; Christophe Aribert [Maison Aribert] ; Pascal Barbot [Astrance] ; Maxime Bonnabry Duval [Refettorio] ; Massimo Bottura [Osteria Francescana] ; Sébastien Bras [Le Suquet] ; Benjamin Brial [Lutécia] ; Boris Campanella [Hôtel de Crillon] ; Mauro Colagreco [Mirazur] ; Fabrizio Cosso [Eataly Paris Marais] ; Alexandre et Céline Couillon [La Marine] ; Sonia Ezgulian [Les Sardines filantes] ; Solène Gallard [Mingway] ; Guillaume Goupil [Le Baudelaire] ; Bertrand Grébaut [Septime] ; Cédric Grolet [Cédric Grolet Opéra] ; Jean Imbert [Mamie] ; Flavia Vanessa Isla [Patagonia sucrée] ; JR ; Pierre Hermé [Pierre Hermé] ; Guy Krenzer [Lenôtre] ; Alexandre Maigrot [Ernest] ; Grégory Marchand [Frenchie] ; Romain Meder [Plaza Athénée] ; Tabata et Ludovic Mey [Les Apothicaires] ; Olivier Roellinger [Le Coquillage] ; Anna Trattles et Alice Quillet [Ten Belles Bread] ; Régis Marcon [Régis & Jacques Marcon] ; Alessandra Montagne [Tempero] ; Prune Nourry ; Apollonia Poilâne [POILÂNE] ; Mama Rebecca et Mama Marina [Meet My Mama] ; Romain Roudeau [Juveniles] ; Harouna Sow [Refugee Food Festival] ; Michel et César Troisgros [Le Bois sans Feuilles] ; Agnès et Rosalie Varda ; Loïc Villemin [Toya]

","Cet ouvrage rassemble des créations de plusieurs grands chefs et artistes, autour de la vision d’une cuisine anti-gaspi, c’est-à-dire réalisée soit avec un fond de frigidaire, soit en utilisant de manière complète les produits, soit à plus grande échelle grâce à des produits issus des surplus de la grande distribution et des producteurs.C’est précisément le cas au Refettorio Paris, restaurant solidaire situé place de la Madeleine, dans lequel ces chefs sont tous venus cuisiner et au profit duquel ce livre est réalisé. Un merveilleux ouvrage mêlant cuisine et photographie, contant l’histoire d’une cause noble et d’un projet réussi, immortalisé à travers l'objectif de JR, également auteur de la préface. Ghislaine Arabian [Les Petites Sorcières] ; Christophe Aribert [Maison Aribert] ; Pascal Barbot [Astrance] ; Maxime Bonnabry Duval [Refettorio] ; Massimo Bottura [Osteria Francescana] ; Sébastien Bras [Le Suquet] ; Benjamin Brial [Lutécia] ; Boris Campanella [Hôtel de Crillon] ; Mauro Colagreco [Mirazur] ; Fabrizio Cosso [Eataly Paris Marais] ; Alexandre et Céline Couillon [La Marine] ; Sonia Ezgulian [Les Sardines filantes] ; Solène Gallard [Mingway] ; Guillaume Goupil [Le Baudelaire] ; Bertrand Grébaut [Septime] ; Cédric Grolet [Cédric Grolet Opéra] ; Jean Imbert [Mamie] ; Flavia Vanessa Isla [Patagonia sucrée] ; JR ; Pierre Hermé [Pierre Hermé] ; Guy Krenzer [Lenôtre] ; Alexandre Maigrot [Ernest] ; Grégory Marchand [Frenchie] ; Romain Meder [Plaza Athénée] ; Tabata et Ludovic Mey [Les Apothicaires] ; Olivier Roellinger [Le Coquillage] ; Anna Trattles et Alice Quillet [Ten Belles Bread] ; Régis Marcon [Régis & Jacques Marcon] ; Alessandra Montagne [Tempero] ; Prune Nourry ; Apollonia 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« J'ai réalisé, en travaillant sur mes archives personnelles, qu'il existait très peu d'images de mes parents avant leur mariage, un désert iconographique expliqué par le fait qu'ils sont nés dans les années 1920 dans un Maroc encore sans eau courante ni électricité. Les rares photographies détenues par ma grand-mère étaient verrouillées à double tour pour ne pas évoquer le drame causé par la perte accidentelle d'un de ses fils. Une chape de silence avait frappé d'interdit cette vie antérieure. Je me suis retrouvée orpheline d'images du passé.

Je collectionne les photographies anonymes que j'achète dans les brocantes. Je suis aimantée par ce bonheur qui s'affiche au garde-à-vous sur ces photos, par ces gens que je ne connais pas et qui ont existé, aimé et disparu. Ils sont des fantômes qui me suivent sans bruit et je me les approprie pour construire un album de famille imaginaire afin de réparer l'oubli.

Je reconstruis la mémoire de ma famille qui m'a manqué, je m'en invente une autre sur mesure où je ressuscite tous les ascendants qui ont disparu, les territoires que je n'ai pas connus et qui m'ont été vantés.

Ces rebuts, cédés pour quelques euros sur le bord du trottoir parce que les héritiers n'en veulent plus, changent de statut par un geste, l'application de la feuille d'or sur la photographie. En masquant une partie de l'image, et plus spécifiquement les visages de ces fantômes, je décuple les projections possibles.

L'or est un métal inoxydable. L'à plat doré opère à la fois comme une oblitération et une surface brillante sur laquelle se réfléchissent nos propres visages.

Je choisis des photographies qui évoquent quelque chose de déjà-vu, une pose familière, des moments heureux qui illustrent toutes ces fables racontées sur les ancêtres. Ce bonheur ritualisé au fil des évènements renvoie aux mensonges sur le mythe familial. Il évacue la matière noire liée à la famille, justement absente de ces photographies-là.

Afin de démentir ce bonheur idéal, je note au bas des photographies de cet album imaginaire, des souvenirs personnels et douloureux qui parlent de difficulté à se construire une vie heureuse « comme sur les photos ».

Je tape ces souvenirs sur un clavier dont des touches sont inopérantes à cause d'un café que j'y ai accidentellement renversé, tout comme Hölderlin qui a volontairement enlevé certaines cordes de son piano et joue sans savoir lesquelles sont manquantes. Les souvenirs que je relate deviennent opaques, incompréhensibles pour le lecteur. Mais à l'instar de ces photographies qui disent l'impossibilité de l'identification, je construis des souvenirs absents.

Utiliser ces images est une force de vivre par procuration et de reconstituer une vie rêvée. Néanmoins, l'intervention de la feuille d'or créé des trous de mémoire et impose une distance, ce qui fait que je ne suis pas dupe du mensonge qu'elles affichent.

Travailler sur ces photographies permet de faire le deuil de cette vie de famille idéale. Reprendre un à un tous les anciens fantasmes concernant ces projections et les démonter rend cette mort symbolique supportable.»
Carolle Bénitah

","« J'ai réalisé, en travaillant sur mes archives personnelles, qu'il existait très peu d'images de mes parents avant leur mariage, un désert iconographique expliqué par le fait qu'ils sont nés dans les années 1920 dans un Maroc encore sans eau courante ni électricité. Les rares photographies détenues par ma grand-mère étaient verrouillées à double tour pour ne pas évoquer le drame causé par la perte accidentelle d'un de ses fils. Une chape de silence avait frappé d'interdit cette vie antérieure. Je me suis retrouvée orpheline d'images du passé. Je collectionne les photographies anonymes que j'achète dans les brocantes. Je suis aimantée par ce bonheur qui s'affiche au garde-à-vous sur ces photos, par ces gens que je ne connais pas et qui ont existé, aimé et disparu. Ils sont des fantômes qui me suivent sans bruit et je me les approprie pour construire un album de famille imaginaire afin de réparer l'oubli. Je reconstruis la mémoire de ma famille qui m'a manqué, je m'en invente une autre sur mesure où je ressuscite tous les ascendants qui ont disparu, les territoires que je n'ai pas connus et qui m'ont été vantés. Ces rebuts, cédés pour quelques euros sur le bord du trottoir parce que les héritiers n'en veulent plus, changent de statut par un geste, l'application de la feuille d'or sur la photographie. En masquant une partie de l'image, et plus spécifiquement les visages de ces fantômes, je décuple les projections possibles. L'or est un métal inoxydable. L'à plat doré opère à la fois comme une oblitération et une surface brillante sur laquelle se réfléchissent nos propres visages. Je choisis des photographies qui évoquent quelque chose de déjà-vu, une pose familière, des moments heureux qui illustrent toutes ces fables racontées sur les ancêtres. Ce bonheur ritualisé au fil des évènements renvoie aux mensonges sur le mythe familial. Il évacue la matière noire liée à la famille, justement absente de ces photographies-là. Afin de démentir ce bonheur idéal, je note au bas des photographies de cet album imaginaire, des souvenirs personnels et douloureux qui parlent de difficulté à se construire une vie heureuse « comme sur les photos ».Je tape ces souvenirs sur un clavier dont des touches sont inopérantes à cause d'un café que j'y ai accidentellement renversé, tout comme Hölderlin qui a volontairement enlevé certaines cordes de son piano et joue sans savoir lesquelles sont manquantes. Les souvenirs que je relate deviennent opaques, incompréhensibles pour le lecteur. Mais à l'instar de ces photographies qui disent l'impossibilité de l'identification, je construis des souvenirs absents. Utiliser ces images est une force de vivre par procuration et de reconstituer une vie rêvée. Néanmoins, l'intervention de la feuille d'or créé des trous de mémoire et impose une distance, ce qui fait que je ne suis pas dupe du mensonge qu'elles affichent. Travailler sur ces photographies permet de faire le deuil de cette vie de famille idéale. Reprendre un à un tous les anciens fantasmes concernant ces projections et les démonter rend cette mort symbolique supportable.»Carolle Bénitah",[542],{"_23":270,"_120":543},[544],{"_23":273,"_124":545,"_154":-5},{"_126":98,"_127":-5,"_21":546,"_35":547,"_139":550,"_102":552,"_146":553,"_150":555,"_53":273,"_151":-5,"_152":556},"gid://shopify/ProductVariant/51825930699016",{"_130":131,"_21":548,"_29":549,"_134":-5,"_135":136,"_137":138},"gid://shopify/ProductImage/66197035811080","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_carollebenitah_jamaisjenetoublierai_main.png?v=1750860109",{"_141":551,"_143":144},"250.0",{"_53":536,"_107":538},[554],{"_23":270,"_149":273},"SKU-BENITAH-JAMAISOUBLIERAIS",[-5],{"_193":558},[559,561,565,569,573],{"_196":560},{"_21":548,"_29":549,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},{"_196":562},{"_21":563,"_29":564,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},"gid://shopify/ProductImage/66197035155720","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_carollebenitah_jamaisjenetoublierai_hover.png?v=1750860108",{"_196":566},{"_21":567,"_29":568,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},"gid://shopify/ProductImage/66197035024648","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_carollebenitah_jamaisjenetoublierai_01.jpg?v=1750860108",{"_196":570},{"_21":571,"_29":572,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},"gid://shopify/ProductImage/66197035057416","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_carollebenitah_jamaisjenetoublierai_02.jpg?v=1750860108",{"_196":574},{"_21":575,"_29":576,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},"gid://shopify/ProductImage/66197035090184","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_carollebenitah_jamaisjenetoublierai_03.jpg?v=1750860108",{"_21":548,"_134":-5,"_137":138,"_29":549,"_135":136},{"_212":579,"_214":580},{"_141":551,"_143":144},{"_141":551,"_143":144},[582,584,586,588,-5,590,596,598],{"_298":299,"_149":583,"_301":302,"_303":-5},"Carolle Bénitah",{"_298":365,"_149":585,"_301":302,"_303":-5},"[{\"value\":22.6,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":20.6,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":2.0,\"unit\":\"CENTIMETERS\"}]",{"_298":368,"_149":587,"_301":302,"_303":-5},"56",{"_298":371,"_149":589,"_301":302,"_303":-5},"{\"value\":470.0,\"unit\":\"GRAMS\"}",{"_298":374,"_149":591,"_301":376,"_303":592},"[\"gid://shopify/Metaobject/164291117320\",\"gid://shopify/Metaobject/164334076168\"]",{"_219":593},[594,595],{"_21":383,"_107":384},{"_21":380,"_107":381},{"_298":386,"_149":597,"_301":302,"_303":-5},"Carolle Bénitah, Laura Serani",{"_298":389,"_149":599,"_301":302,"_303":-5},"{\"type\":\"root\",\"children\":[{\"type\":\"paragraph\",\"children\":[{\"type\":\"text\",\"value\":\"« Dans son nouveau projet \",\"italic\":true},{\"type\":\"text\",\"value\":\"Jamais je ne t'oublierai\"},{\"type\":\"text\",\"value\":\", l'objectif semble vouloir sauver les images de l'oubli et de l'effacement. \\nRendus précieux par l'or, ces joyaux de la mémoire privée deviennent objectivement précieux et rappellent parfois l'univers énigmatique et surréaliste de Fornasetti. »\",\"italic\":true},{\"type\":\"text\",\"value\":\"\\nLaura Serani\"}]}]}",{"_219":601},[602,603,604],{"_107":394,"_53":54},{"_107":222,"_53":223},{"_107":605,"_53":583},"carolle-benitah",{"_126":98,"_127":-5,"_21":546,"_35":607,"_139":608,"_102":609,"_146":610,"_150":555,"_53":273,"_151":-5,"_152":612},{"_130":131,"_21":548,"_29":549,"_134":-5,"_135":136,"_137":138},{"_141":551,"_143":144},{"_53":536,"_107":538},[611],{"_23":270,"_149":273},[-5],[],{"_25":-5,"_53":-5},{"_21":616,"_53":617,"_106":618,"_107":619,"_109":620,"_25":621,"_111":267,"_113":267,"_114":115,"_116":110,"_117":622,"_191":638,"_208":658,"_210":659,"_152":662,"_217":683,"_229":688,"_237":695,"_260":696},"gid://shopify/Product/10373376770312","Land Space","SEIGENSHA Art Publishing","land-space","

Cette collection exceptionnelle réunit deux séries photographiques qui constituent l’œuvre de toute une vie pour Mikiya Takimoto : Space, une série de portraits de la nouvelle navette spatiale réalisés au fil de nombreuses visites au Kennedy Space Center de la NASA, et Land, où il a saisi la sérénité ancestrale de la Terre vivante. Les lois de la vie et de l’univers s’expriment à travers le dialogue entre ces deux séries d’images, aussi radicalement différentes qu’intimement liées.

Pour accompagner ces photographies monumentales, la postface est signée Keiichiro Hirano, qui partage son ressenti face à la découverte de la série, ainsi que son interprétation de la vision de Takimoto.

Photographe et cinématographe japonais, né à Aichi en 1974, Mikiya Takimoto commence sa pratique photographique à l’âge de 16 ans. Il travaille dans différents studios, dont celui de Tamotsu Fujii, et prend son indépendance en 1998.

En parallèle de ses travaux photographiques, il filme pour Hirokazu Kore-Eda, collaborant sur plusieurs films, parmi lesquels Soshite Chichi ni Naru (« Tel père, Tel fils »), prix du jury à Cannes en 2013, ou Sandome no Satsujin (« The Third Murder »), en compétition en 2017.

Le travail photographique de Mikiya Takimoto prend racine dans le temps, sur les sept continents, souvent dans des conditions extrêmes et avec des protocoles complexes. Un processus photographique de longue haleine, pour aboutir à des images uniques, dont chacune véhicule le symbolisme de l’élan mondial. Son travail a fait l’objet de la publication d’une dizaine de livres et d’expositions.

","Cette collection exceptionnelle réunit deux séries photographiques qui constituent l’œuvre de toute une vie pour Mikiya Takimoto : Space, une série de portraits de la nouvelle navette spatiale réalisés au fil de nombreuses visites au Kennedy Space Center de la NASA, et Land, où il a saisi la sérénité ancestrale de la Terre vivante. Les lois de la vie et de l’univers s’expriment à travers le dialogue entre ces deux séries d’images, aussi radicalement différentes qu’intimement liées. Pour accompagner ces photographies monumentales, la postface est signée Keiichiro Hirano, qui partage son ressenti face à la découverte de la série, ainsi que son interprétation de la vision de Takimoto.Photographe et cinématographe japonais, né à Aichi en 1974, Mikiya Takimoto commence sa pratique photographique à l’âge de 16 ans. Il travaille dans différents studios, dont celui de Tamotsu Fujii, et prend son indépendance en 1998. 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\nLes Napperons Bonimenteurs, 2011

\nLes Napperons Obsédés, 2011

Signé et numéroté par l'artiste
Emboîtage Ginette Cognault à Marseille, France
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Série de 14 ou 17 napperons de papier brodés au fil de soie

14 x 14 cm / 5 ½ x 5 ½ in

Édition de 10 plus 2 épreuves d'artiste

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","Les Napperons Bonimenteurs, 2011 Les Napperons Obsédés, 2011 Signé et numéroté par l'artisteEmboîtage Ginette Cognault à Marseille, France Série de 14 ou 17 napperons de papier brodés au fil de soie 14 x 14 cm / 5 ½ x 5 ½ in Édition de 10 plus 2 épreuves d'artiste","v1_0-1",[705],{"_23":706,"_120":707},"boites",[708,721],{"_23":709,"_124":710,"_154":-5},"Les Napperons Obsédés",{"_126":98,"_127":-5,"_21":711,"_35":712,"_139":715,"_102":717,"_146":718,"_150":110,"_53":709,"_151":-5,"_152":720},"gid://shopify/ProductVariant/51832990433544",{"_130":131,"_21":713,"_29":714,"_134":-5,"_135":136,"_137":138},"gid://shopify/ProductImage/66286597538056","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_objets_carollebenitah-napperons1_hover_3430b46d-12e4-46b7-9ccc-938baf7cfa47.png?v=1750944023",{"_141":716,"_143":144},"260.0",{"_53":699,"_107":700},[719],{"_23":706,"_149":709},[-5],{"_23":722,"_124":723,"_154":-5},"Les Napperons Bonimenteurs",{"_126":98,"_127":-5,"_21":724,"_35":725,"_139":728,"_102":729,"_146":730,"_150":732,"_53":722,"_151":-5,"_152":733},"gid://shopify/ProductVariant/51832990466312",{"_130":131,"_21":726,"_29":727,"_134":-5,"_135":136,"_137":138},"gid://shopify/ProductImage/66286418755848","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_objets_carollebenitah-napperons2_hover.png?v=1750944023",{"_141":716,"_143":144},{"_53":699,"_107":700},[731],{"_23":706,"_149":722},"SKU-CB-BONIMENTEURS",[-5],{"_193":735},[736,740,742],{"_196":737},{"_21":738,"_29":739,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},"gid://shopify/ProductImage/66286339391752","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_objets_carollebenitah-napperons1_main.png?v=1750944023",{"_196":741},{"_21":713,"_29":714,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},{"_196":743},{"_21":726,"_29":727,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},{"_21":738,"_134":-5,"_137":138,"_29":739,"_135":136},{"_212":746,"_214":747},{"_141":716,"_143":144},{"_141":716,"_143":144},[749,-5,-5,-5,-5,-5,-5,750],{"_298":299,"_149":583,"_301":302,"_303":-5},{"_298":389,"_149":751,"_301":302,"_303":-5},"{\"type\":\"root\",\"children\":[{\"type\":\"paragraph\",\"children\":[{\"type\":\"text\",\"value\":\"L'artiste plasticienne Carolle Bénitah transforme avec poésie et profondeur des napperons en papier brodés en œuvres d'art chargées de sens. À travers le fil de laine rouge, caractéristique de son travail, elle revisite ces objets domestiques traditionnels, témoins silencieux de l'intimité familiale, pour en faire des supports de réflexion sur notre rapport à l'intime et aux sentiments.\"}]}]}",{"_219":753},[754,755,756],{"_107":222,"_53":223},{"_107":225,"_53":70},{"_107":605,"_53":583},{"_126":98,"_127":-5,"_21":711,"_35":758,"_139":759,"_102":760,"_146":761,"_150":110,"_53":709,"_151":-5,"_152":763},{"_130":131,"_21":713,"_29":714,"_134":-5,"_135":136,"_137":138},{"_141":716,"_143":144},{"_53":699,"_107":700},[762],{"_23":706,"_149":709},[-5],[765],{"_126":98,"_127":-5,"_21":724,"_35":766,"_139":767,"_102":768,"_146":769,"_150":732,"_53":722,"_151":-5,"_152":771},{"_130":131,"_21":726,"_29":727,"_134":-5,"_135":136,"_137":138},{"_141":716,"_143":144},{"_53":699,"_107":700},[770],{"_23":706,"_149":722},[-5],{"_25":-5,"_53":-5},{"_21":774,"_53":775,"_106":24,"_107":776,"_109":777,"_25":778,"_111":267,"_113":267,"_114":115,"_116":110,"_117":779,"_191":794,"_208":814,"_210":815,"_152":818,"_217":836,"_229":843,"_237":850,"_260":851},"gid://shopify/Product/10069885681928","Portraits | Collection Florence et Damien Bachelot au musée Réattu","portraits-collection-florence-et-damien-bachelot","

Le thème du portrait est une des lignes de force de la collection : « L’essence de notre collection est l’humain. Ce n’est pas un choix délibéré, mais une constatation de nos choix au fil du temps. Dans cet esprit, il est logique que le portrait puisse être une des pierres angulaires de la collection, avec des clichés de personnes seules ou de groupes mais aussi, de façon plus large, des images qui sont les reflets de situations humaines »,
Damien Bachelot.

Le portrait, en tant que miroir fidèle ou déformant de la réalité, permet de décliner la grande variété de regards que les photographes portent sur leurs modèles, cherchant à sonder les méandres de l’esprit à travers le corps, les traits du visage ou le regard. Comme genre, le portrait interroge les missions assignées traditionnellement à la photographie – identifier, reconnaître, inventorier, classer – et nous éclaire, à travers les époques, sur le contexte sociologique, politique, religieux ou culturel de nos sociétés.

Cet ouvrage préfacé par Patrick de Carolis, Françoise Docquiert, Andy Neyrotti, a été coédité par Maison CF et le Musée Réattu à Arles, France.

","Le thème du portrait est une des lignes de force de la collection : « L’essence de notre collection est l’humain. Ce n’est pas un choix délibéré, mais une constatation de nos choix au fil du temps. Dans cet esprit, il est logique que le portrait puisse être une des pierres angulaires de la collection, avec des clichés de personnes seules ou de groupes mais aussi, de façon plus large, des images qui sont les reflets de situations humaines »,Damien Bachelot. Le portrait, en tant que miroir fidèle ou déformant de la réalité, permet de décliner la grande variété de regards que les photographes portent sur leurs modèles, cherchant à sonder les méandres de l’esprit à travers le corps, les traits du visage ou le regard. Comme genre, le portrait interroge les missions assignées traditionnellement à la photographie – identifier, reconnaître, inventorier, classer – et nous éclaire, à travers les époques, sur le contexte sociologique, politique, religieux ou culturel de nos sociétés.Cet ouvrage préfacé par Patrick de Carolis, Françoise Docquiert, Andy Neyrotti, a été coédité par Maison CF et le Musée Réattu à Arles, France.",[780],{"_23":270,"_120":781},[782],{"_23":273,"_124":783,"_154":-5},{"_126":98,"_127":-5,"_21":784,"_35":785,"_139":788,"_102":789,"_146":790,"_150":792,"_53":273,"_151":-5,"_152":793},"gid://shopify/ProductVariant/50992593010952",{"_130":131,"_21":786,"_29":787,"_134":-5,"_135":136,"_137":138},"gid://shopify/ProductImage/64257205207304","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_bachelot_portraits_main.png?v=1748103715",{"_141":425,"_143":144},{"_53":775,"_107":776},[791],{"_23":270,"_149":273},"SKU-PORTRAITS-BACHELOT-42",[-5],{"_193":795},[796,798,802,806,810],{"_196":797},{"_21":786,"_29":787,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},{"_196":799},{"_21":800,"_29":801,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},"gid://shopify/ProductImage/64257204650248","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_bachelot_portraits_hover.png?v=1748103715",{"_196":803},{"_21":804,"_29":805,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},"gid://shopify/ProductImage/64257204683016","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_bachelot_portraits_alternate01.jpg?v=1748103715",{"_196":807},{"_21":808,"_29":809,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},"gid://shopify/ProductImage/64257204551944","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_bachelot_portraits_alternate03.jpg?v=1748103715",{"_196":811},{"_21":812,"_29":813,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},"gid://shopify/ProductImage/64257204584712","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_bachelot_portraits_alternate02.jpg?v=1748103715",{"_21":786,"_134":-5,"_137":138,"_29":787,"_135":136},{"_212":816,"_214":817},{"_141":425,"_143":144},{"_141":425,"_143":144},[819,821,823,825,-5,827,832,834],{"_298":299,"_149":820,"_301":302,"_303":-5},"Collectif",{"_298":365,"_149":822,"_301":302,"_303":-5},"[{\"value\":26.7,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":21.7,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":2.0,\"unit\":\"CENTIMETERS\"}]",{"_298":368,"_149":824,"_301":302,"_303":-5},"128",{"_298":371,"_149":826,"_301":302,"_303":-5},"{\"value\":846.0,\"unit\":\"GRAMS\"}",{"_298":374,"_149":591,"_301":376,"_303":828},{"_219":829},[830,831],{"_21":383,"_107":384},{"_21":380,"_107":381},{"_298":386,"_149":833,"_301":302,"_303":-5},"Patrick de Carolis, Françoise Docquiert, Andy Neyrotti",{"_298":389,"_149":835,"_301":302,"_303":-5},"{\"type\":\"root\",\"children\":[{\"type\":\"paragraph\",\"children\":[{\"type\":\"text\",\"value\":\"Troisième volume consacré à la collection de Florence et Damien Bachelot, cet ouvrage accompagne l'exposition centrée sur l’un des axes majeurs de leur regard de collectionneurs : le portrait. Présentés au cœur des collections permanentes du musée Réattu à Arles, dans le cadre des Rencontres de la photographie en 2023, les tirages sélectionnés dialoguent avec les peintures et sculptures du lieu. De Diane Arbus à Saul Leiter, soixante-dix photographies sont reproduites dans ce livre, témoignant de la richesse et de la sensibilité d’un regard amateur.\"}]}]}",{"_219":837},[838,841,842],{"_107":839,"_53":840},"collection-bachelot","Collection Florence et Damien Bachelot",{"_107":394,"_53":54},{"_107":222,"_53":223},{"_126":98,"_127":-5,"_21":784,"_35":844,"_139":845,"_102":846,"_146":847,"_150":792,"_53":273,"_151":-5,"_152":849},{"_130":131,"_21":786,"_29":787,"_134":-5,"_135":136,"_137":138},{"_141":425,"_143":144},{"_53":775,"_107":776},[848],{"_23":270,"_149":273},[-5],[],{"_25":-5,"_53":-5},{"_21":853,"_53":854,"_106":24,"_107":855,"_109":856,"_25":857,"_111":267,"_113":267,"_114":115,"_116":110,"_117":858,"_191":873,"_208":881,"_210":882,"_152":885,"_217":901,"_229":908,"_237":915,"_260":916},"gid://shopify/Product/10355043467528","Smoke & Mirrors | Tirages de tête","smoke-mirrors-tirages-de-tete","

« Pour imposer ces sentiments complexes qui combinent contemplation et décryptage, compréhension et rêverie, Guillaume Zuili recourt à ce qu’il y a de plus photographique dans la pratique des images : le tirage. Rappel salutaire que la photographie n’existe que sous forme virtuelle, voire éphémère – celle qui gagne, apparemment, aujourd’hui – si elle ne se matérialise pas, si elle ne devient pas un objet, fût-il de papier et fragile. Il rappelle, en fait, que ces feuilles, savantes et raffinées, fruits d’un savoir-faire artisanal et de perpétuelles réinterprétations, vibrent des tonalités souvent incontrôlables des virages, émeuvent par la façon dont les grains d’argent s’accouplent aux trames du papier, affirment à la fois la profondeur veloutée des noirs et les camaïeux des gris qui modulent et caressent les formes. C’est là que s’inscrit une perception du temps, parfois amusée sous ses dehors charmeurs, qui prend de la distance et nous renvoie vers le rêve des palmiers et des pin-up, des motifs que convoqua le pop art et que détourne la publicité. Temps arrêté et en même temps suspendu entre hier, que ne connurent ni le photographe ni ce qu’il figure, et aujourd’hui, qu’il met à profit pour nous renvoyer vers un univers que nous ne savons voir, qu’il fait exister, qui est certainement un leurre, mais qui se donne comme une évidence tant il sait nous convaincre en évoquant des souvenirs, un sentiment apaisé du temps, une possible échappée dans le rêve qui adoucit le décor et nous ouvre un espace possible. Le tout servi par de la matière, des matières, des sensualités couchées et inscrites dans la gélatine, la feuille, les couches successives travaillées par la lumière. »

extrait de la préface de Christian Caujolle

","« Pour imposer ces sentiments complexes qui combinent contemplation et décryptage, compréhension et rêverie, Guillaume Zuili recourt à ce qu’il y a de plus photographique dans la pratique des images : le tirage. Rappel salutaire que la photographie n’existe que sous forme virtuelle, voire éphémère – celle qui gagne, apparemment, aujourd’hui – si elle ne se matérialise pas, si elle ne devient pas un objet, fût-il de papier et fragile. Il rappelle, en fait, que ces feuilles, savantes et raffinées, fruits d’un savoir-faire artisanal et de perpétuelles réinterprétations, vibrent des tonalités souvent incontrôlables des virages, émeuvent par la façon dont les grains d’argent s’accouplent aux trames du papier, affirment à la fois la profondeur veloutée des noirs et les camaïeux des gris qui modulent et caressent les formes. C’est là que s’inscrit une perception du temps, parfois amusée sous ses dehors charmeurs, qui prend de la distance et nous renvoie vers le rêve des palmiers et des pin-up, des motifs que convoqua le pop art et que détourne la publicité. Temps arrêté et en même temps suspendu entre hier, que ne connurent ni le photographe ni ce qu’il figure, et aujourd’hui, qu’il met à profit pour nous renvoyer vers un univers que nous ne savons voir, qu’il fait exister, qui est certainement un leurre, mais qui se donne comme une évidence tant il sait nous convaincre en évoquant des souvenirs, un sentiment apaisé du temps, une possible échappée dans le rêve qui adoucit le décor et nous ouvre un espace possible. Le tout servi par de la matière, des matières, des sensualités couchées et inscrites dans la gélatine, la feuille, les couches successives travaillées par la lumière. » extrait de la préface de Christian Caujolle",[859],{"_23":270,"_120":860},[861],{"_23":273,"_124":862,"_154":-5},{"_126":98,"_127":-5,"_21":863,"_35":864,"_139":867,"_102":868,"_146":869,"_150":871,"_53":273,"_151":-5,"_152":872},"gid://shopify/ProductVariant/51773448257800",{"_130":131,"_21":865,"_29":866,"_134":-5,"_135":136,"_137":138},"gid://shopify/ProductImage/65786768392456","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_tirages_guillaumezuili_smoke_mirrors__maincopie.png?v=1750349480",{"_141":551,"_143":144},{"_53":854,"_107":855},[870],{"_23":270,"_149":273},"SKU-ZUILI-SMOKE-TIRAGE",[-5],{"_193":874},[875,877],{"_196":876},{"_21":865,"_29":866,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},{"_196":878},{"_21":879,"_29":880,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},"gid://shopify/ProductImage/65786770718984","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_tirages_guillaumezuili_smokenmirrors__main.png?v=1750349482",{"_21":865,"_134":-5,"_137":138,"_29":866,"_135":136},{"_212":883,"_214":884},{"_141":551,"_143":144},{"_141":551,"_143":144},[886,888,890,-5,-5,892,897,899],{"_298":299,"_149":887,"_301":302,"_303":-5},"Guillaume Zuili",{"_298":365,"_149":889,"_301":302,"_303":-5},"[{\"value\":34.8,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":26.6,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":1.9,\"unit\":\"CENTIMETERS\"}]",{"_298":368,"_149":891,"_301":302,"_303":-5},"112",{"_298":374,"_149":591,"_301":376,"_303":893},{"_219":894},[895,896],{"_21":383,"_107":384},{"_21":380,"_107":381},{"_298":386,"_149":898,"_301":302,"_303":-5},"Christian Caujolle",{"_298":389,"_149":900,"_301":302,"_303":-5},"{\"type\":\"root\",\"children\":[{\"type\":\"paragraph\",\"children\":[{\"type\":\"text\",\"value\":\"Coffret limité à 21 exemplaires contenant :\\n\\nUne édition limitée du livre, signée par Guillaume Zuili\\n+\\nUn tirage lith réalisé par l'artiste, numéroté et signé (format 18 x 13 cm)\\n\\n\\nCe premier ouvrage de Guillaume Zuili célèbre la photographie argentique comme trace tangible du réel, à contre-courant d'un monde saturé d'images virtuelles. À travers Los Angeles et d'autres villes, les tirages manuels de l'artiste révèlent la matière vibrante du temps et de la mémoire. Un manifeste photographique où chaque image, travaillée comme un objet unique, dialogue avec notre perception sensible du monde.\"}]}]}",{"_219":902},[903,905,906],{"_107":904,"_53":887},"guillaume-zuili",{"_107":222,"_53":223},{"_107":907,"_53":63},"editions-speciales",{"_126":98,"_127":-5,"_21":863,"_35":909,"_139":910,"_102":911,"_146":912,"_150":871,"_53":273,"_151":-5,"_152":914},{"_130":131,"_21":865,"_29":866,"_134":-5,"_135":136,"_137":138},{"_141":551,"_143":144},{"_53":854,"_107":855},[913],{"_23":270,"_149":273},[-5],[],{"_25":-5,"_53":-5},{"_21":918,"_53":919,"_106":618,"_107":920,"_109":921,"_25":922,"_111":267,"_113":267,"_114":115,"_116":110,"_117":923,"_191":939,"_208":959,"_210":960,"_152":963,"_217":973,"_229":978,"_237":985,"_260":986},"gid://shopify/Product/10373382537480","Grain of Light","grain-of-light","

Mikiya Takimoto, photographe de premier plan dans les domaines de la publicité et des campagnes télévisées, poursuit une carrière reconnue sur la scène contemporaine. Il a élargi son champ d’activité en assumant pour la première fois la direction de la photographie sur le film Tel père, tel fils du réalisateur Hirokazu Kore-eda.

Le présent ouvrage est un superbe recueil d’images capturant le rythme infini de la mer — depuis les origines de la Terre jusqu’à l’instant présent.

","Mikiya Takimoto, photographe de premier plan dans les domaines de la publicité et des campagnes télévisées, poursuit une carrière reconnue sur la scène contemporaine. Il a élargi son champ d’activité en assumant pour la première fois la direction de la photographie sur le film Tel père, tel fils du réalisateur Hirokazu Kore-eda. Le présent ouvrage est un superbe recueil d’images capturant le rythme infini de la mer — depuis les origines de la Terre jusqu’à l’instant présent.",[924],{"_23":270,"_120":925},[926],{"_23":273,"_124":927,"_154":-5},{"_126":98,"_127":-5,"_21":928,"_35":929,"_139":932,"_102":934,"_146":935,"_150":937,"_53":273,"_151":-5,"_152":938},"gid://shopify/ProductVariant/51825921294600",{"_130":131,"_21":930,"_29":931,"_134":-5,"_135":136,"_137":138},"gid://shopify/ProductImage/66196982137096","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_mikiyatakimoto_grainoflight_main.png?v=1750860043",{"_141":933,"_143":144},"35.0",{"_53":919,"_107":920},[936],{"_23":270,"_149":273},"SKU-TAKIMOTO-GRAINOFLIGHT",[-5],{"_193":940},[941,943,947,951,955],{"_196":942},{"_21":930,"_29":931,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},{"_196":944},{"_21":945,"_29":946,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},"gid://shopify/ProductImage/66196980859144","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_mikiyatakimoto_grainoflight_hover.png?v=1750860043",{"_196":948},{"_21":949,"_29":950,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},"gid://shopify/ProductImage/66196980924680","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_mikiyatakimoto_grainoflight_additional01.jpg?v=1750860043",{"_196":952},{"_21":953,"_29":954,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},"gid://shopify/ProductImage/66196980760840","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_mikiyatakimoto_grainoflight_additional02copie.jpg?v=1750860043",{"_196":956},{"_21":957,"_29":958,"_134":-5,"_137":138,"_135":136},"gid://shopify/ProductImage/66196980433160","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_mikiyatakimoto_grainoflight_additional03copie.jpg?v=1750860042",{"_21":930,"_134":-5,"_137":138,"_29":931,"_135":136},{"_212":961,"_214":962},{"_141":933,"_143":144},{"_141":933,"_143":144},[964,965,967,969,-5,-5,-5,971],{"_298":299,"_149":228,"_301":302,"_303":-5},{"_298":365,"_149":966,"_301":302,"_303":-5},"[{\"value\":28.5,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":21.8,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":0.9,\"unit\":\"CENTIMETERS\"}]",{"_298":368,"_149":968,"_301":302,"_303":-5},"64",{"_298":371,"_149":970,"_301":302,"_303":-5},"{\"value\":432.0,\"unit\":\"GRAMS\"}",{"_298":389,"_149":972,"_301":302,"_303":-5},"{\"type\":\"root\",\"children\":[{\"type\":\"paragraph\",\"children\":[{\"type\":\"text\",\"value\":\"« La lumière du soleil se reflète sur les ondulations de la surface marine, créant des milliers de particules lumineuses. J’ai voulu exposer avec soin ces éclats de lumière éphémères. », Mikiya Takimoto\"}]}]}",{"_219":974},[975,976,977],{"_107":394,"_53":54},{"_107":222,"_53":223},{"_107":227,"_53":228},{"_126":98,"_127":-5,"_21":928,"_35":979,"_139":980,"_102":981,"_146":982,"_150":937,"_53":273,"_151":-5,"_152":984},{"_130":131,"_21":930,"_29":931,"_134":-5,"_135":136,"_137":138},{"_141":933,"_143":144},{"_53":919,"_107":920},[983],{"_23":270,"_149":273},[-5],[],{"_25":-5,"_53":-5},{"_21":988,"_53":989,"_106":24,"_107":990,"_109":991,"_25":992,"_111":412,"_113":412,"_114":115,"_116":110,"_117":993,"_191":1037,"_208":1053,"_210":1054,"_152":1057,"_217":1072,"_229":1078,"_237":1085,"_260":1100},"gid://shopify/Product/10355031015688","Conversation | Tirages de tête","conversation-tirages-de-tete","

Dans ce très beau livre d’entretien, enrichi d’images iconiques et d’archives familiales, l'artiste FLORE se livre avec une rare sincérité. Est ici restituée toute la richesse de son esthétique, fondée sur le souvenir personnel d’un ailleurs qui oscille entre fiction et mythes familiaux.

Plus que des espaces géographiques, le Maroc, le bassin méditerranéen ou les rives du Mékong sont pour l’artiste des lieux propices à l’imagination poétique et au récit intime. Ses photographies, rendues uniques par des processus de laboratoire singuliers, portent en elles la marque du temps passé, grâce à un travail sur la patine et la dissolution de l’image.

","Dans ce très beau livre d’entretien, enrichi d’images iconiques et d’archives familiales, l'artiste FLORE se livre avec une rare sincérité. Est ici restituée toute la richesse de son esthétique, fondée sur le souvenir personnel d’un ailleurs qui oscille entre fiction et mythes familiaux.Plus que des espaces géographiques, le Maroc, le bassin méditerranéen ou les rives du Mékong sont pour l’artiste des lieux propices à l’imagination poétique et au récit intime. 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