Dans cette série de clichés dynamiques, le décor de la célèbre ville balnéaire française s’accorde à merveille avec les personnages vêtus des pièces de la collection. Aujourd'hui, le photographe documentaire nous livre les secrets de cet album inédit.

Quelle facette de Cannes et de la Côte d’Azur avez-vous tenté de refléter dans ces images ?
J’ai essayé de capturer l’atmosphère de Cannes et la façon dont, selon moi, le grand public perçoit la ville ou la comprend, puis de marier tout ceci à la collection Cruise 2019 de Gucci et à nos personnages.

Selon vous, que différencie cette célèbre destination de vacances française des autres stations balnéaires ? Existe-t-il des similitudes entre Cannes et New Brighton ?
Par essence, Cannes a toujours été une destination assez huppée, ce qui la distingue de New Brighton, au Royaume-Uni, que j’ai photographiée à plusieurs reprises. Je m’efforce toujours de refléter les atouts du lieu, ce qui est facilement identifiable ou ce qui est en train de se passer à ce moment précis.

Quand aviez-vous photographié la ville pour la dernière fois, et comment a-t-elle changé depuis ?
Je crois que la première fois que je me suis rendu à Cannes, c’était il y a 25 ans, au mois de mai, à l’occasion de son Festival. Cette semaine-là est toujours différente du reste de l’année, c’était incroyable et je suis certain que l’atmosphère y est encore plus fervente aujourd’hui. Je ne pense pas que la ville ait changé par nature, même si elle compte aujourd’hui une population plus cosmopolite venue des quatre coins de la planète.

Comment êtes-vous parvenu à intégrer les pièces de la collection aux clichés ?
J’ai tenté de fondre les modèles de Gucci et nos personnages dans le décor de Cannes. Ils incarnent des personnes que vous pourriez réellement apercevoir là-bas.

Entretien par Finn Blythe

","Dans cette série de clichés dynamiques, le décor de la célèbre ville balnéaire française s’accorde à merveille avec les personnages vêtus des pièces de la collection. Aujourd'hui, le photographe documentaire nous livre les secrets de cet album inédit.Quelle facette de Cannes et de la Côte d’Azur avez-vous tenté de refléter dans ces images ? J’ai essayé de capturer l’atmosphère de Cannes et la façon dont, selon moi, le grand public perçoit la ville ou la comprend, puis de marier tout ceci à la collection Cruise 2019 de Gucci et à nos personnages. Selon vous, que différencie cette célèbre destination de vacances française des autres stations balnéaires ? Existe-t-il des similitudes entre Cannes et New Brighton ? Par essence, Cannes a toujours été une destination assez huppée, ce qui la distingue de New Brighton, au Royaume-Uni, que j’ai photographiée à plusieurs reprises. Je m’efforce toujours de refléter les atouts du lieu, ce qui est facilement identifiable ou ce qui est en train de se passer à ce moment précis.Quand aviez-vous photographié la ville pour la dernière fois, et comment a-t-elle changé depuis ? Je crois que la première fois que je me suis rendu à Cannes, c’était il y a 25 ans, au mois de mai, à l’occasion de son Festival. Cette semaine-là est toujours différente du reste de l’année, c’était incroyable et je suis certain que l’atmosphère y est encore plus fervente aujourd’hui. Je ne pense pas que la ville ait changé par nature, même si elle compte aujourd’hui une population plus cosmopolite venue des quatre coins de la planète.Comment êtes-vous parvenu à intégrer les pièces de la collection aux clichés ? J’ai tenté de fondre les modèles de Gucci et nos personnages dans le décor de Cannes. 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Telles sont les photographies de la vie cannoise capturées par Martin Parr pour l'ouvrage de Gucci publié en édition limitée : WORLD (The Price of Love), baptisé ainsi en hommage à la chanson du groupe de rock post-punk britannique, New Order.\"}]}]}",{"_183":275},[276,278,280],{"_108":277,"_53":177},"martin-parr",{"_108":279,"_53":54},"livres",{"_108":186,"_53":187},{"_129":98,"_130":-5,"_21":214,"_35":282,"_142":283,"_102":284,"_149":285,"_153":225,"_53":126,"_154":-5,"_155":287},{"_133":134,"_21":216,"_29":217,"_137":-5,"_138":218,"_140":219},{"_144":221,"_146":147},{"_53":204,"_108":206},[286],{"_23":122,"_152":126},[-5],[],{"_25":-5,"_53":-5},{"_21":291,"_53":292,"_106":24,"_108":293,"_110":294,"_25":295,"_112":113,"_114":113,"_116":117,"_118":111,"_119":296,"_158":312,"_165":328,"_167":329,"_155":332,"_181":353,"_188":359,"_196":366,"_198":367},"gid://shopify/Product/10069978284296","Silex","silex-juliette-agnel","

« Pierres sans domicile fixe nomades qui n’ont l’air de rien de simples cailloux et pourtant des arêtes des bosselures des arrondis des dénivelées des cratères des nuances de nacre d’opale miroirs de temps »
Un livre d’artiste sous forme de leporello avec les poèmes de Léa Bismuth.

Réalisé avec le soutien de la Ville de l’Isle-sur-la-Sorgue.

Juliette Agnel, née en 1973, est une artiste formée aux arts plastiques et à l’ethno-esthétique, marquée par les travaux de Jean Rouch et les récits de Victor Segalen. Après des années d’exploration en Afrique, elle développe une pratique photographique expérimentale, mêlant flou et aléatoire pour évoquer la mémoire humaine. Sa rencontre avec le désert des Bardenas en 2016 inspire Les Nocturnes, une série céleste exposée aux Rencontres d’Arles, prolongée par des projets comme La lune noire. Son travail, centré sur les liens entre l’homme et les paysages (Groenland, nécropoles soudanaises, grottes préhistoriques), a été récompensé par le prix Niépce en 2023. En 2024, ses œuvres sont présentées à la BnF, au Jeu de Paume et à la Fondation Van Gogh.

L’art chez Juliette Agnel tient à cette relation du réel à l'invisible, à un absolu qui nous dépasse et nous pousse à interroger les fondements de notre humanité. Pour elle, il s’agit de poursuivre inlassablement la même quête en observant ces forces qui nous entourent, mais que nous ne voyons pas : « saisir ce qui nous unit en profondeur, en rappelant que le petit corps d'Homme est un fragment signifiant du cosmos. »

","« Pierres sans domicile fixe nomades qui n’ont l’air de rien de simples cailloux et pourtant des arêtes des bosselures des arrondis des dénivelées des cratères des nuances de nacre d’opale miroirs de temps » Un livre d’artiste sous forme de leporello avec les poèmes de Léa Bismuth.Réalisé avec le soutien de la Ville de l’Isle-sur-la-Sorgue.Juliette Agnel, née en 1973, est une artiste formée aux arts plastiques et à l’ethno-esthétique, marquée par les travaux de Jean Rouch et les récits de Victor Segalen. Après des années d’exploration en Afrique, elle développe une pratique photographique expérimentale, mêlant flou et aléatoire pour évoquer la mémoire humaine. Sa rencontre avec le désert des Bardenas en 2016 inspire Les Nocturnes, une série céleste exposée aux Rencontres d’Arles, prolongée par des projets comme La lune noire. 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Dans ce très beau livre d’entretien, enrichi d’images iconiques et d’archives familiales, l'artiste FLORE se livre avec une rare sincérité. Est ici restituée toute la richesse de son esthétique, fondée sur le souvenir personnel d’un ailleurs qui oscille entre fiction et mythes familiaux.

Plus que des espaces géographiques, le Maroc, le bassin méditerranéen ou les rives du Mékong sont pour l’artiste des lieux propices à l’imagination poétique et au récit intime. Ses photographies, rendues uniques par des processus de laboratoire singuliers, portent en elles la marque du temps passé, grâce à un travail sur la patine et la dissolution de l’image.

","Dans ce très beau livre d’entretien, enrichi d’images iconiques et d’archives familiales, l'artiste FLORE se livre avec une rare sincérité. Est ici restituée toute la richesse de son esthétique, fondée sur le souvenir personnel d’un ailleurs qui oscille entre fiction et mythes familiaux.Plus que des espaces géographiques, le Maroc, le bassin méditerranéen ou les rives du Mékong sont pour l’artiste des lieux propices à l’imagination poétique et au récit intime. Ses photographies, rendues uniques par des processus de laboratoire singuliers, portent en elles la marque du temps passé, grâce à un travail sur la patine et la dissolution de l’image.",[375],{"_23":122,"_123":376},[377],{"_23":126,"_127":378,"_157":-5},{"_129":98,"_130":-5,"_21":379,"_35":380,"_142":383,"_102":385,"_149":386,"_153":388,"_53":126,"_154":-5,"_155":389},"gid://shopify/ProductVariant/50992581673224",{"_133":134,"_21":381,"_29":382,"_137":-5,"_138":218,"_140":219},"gid://shopify/ProductImage/64257220477192","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_FLORE_conversations_main.png?v=1748103748",{"_144":384,"_146":147},"32.0",{"_53":370,"_108":371},[387],{"_23":122,"_152":126},"SKU-CONVERSATION-FLORE-32",[-5],{"_160":391},[392,394,398,402,406],{"_163":393},{"_21":381,"_29":382,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},{"_163":395},{"_21":396,"_29":397,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64257221001480","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_FLORE_conversations_hover.png?v=1748103748",{"_163":399},{"_21":400,"_29":401,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64257219625224","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_FLORE_conversations_alternate01.jpg?v=1748103748",{"_163":403},{"_21":404,"_29":405,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64257220051208","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_FLORE_conversations_alternate02.jpg?v=1748103748",{"_163":407},{"_21":408,"_29":409,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64257220542728","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_FLORE_conversations_alternate03.jpg?v=1748103748",{"_21":381,"_137":-5,"_140":219,"_29":382,"_138":218},{"_169":412,"_171":413},{"_144":384,"_146":147},{"_144":384,"_146":147},[415,417,419,421,-5,423,-5,427],{"_175":176,"_152":416,"_178":179,"_180":-5},"FLORE",{"_175":254,"_152":418,"_178":179,"_180":-5},"[{\"value\":21.6,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":15.4,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":1.9,\"unit\":\"CENTIMETERS\"}]",{"_175":257,"_152":420,"_178":179,"_180":-5},"168",{"_175":260,"_152":422,"_178":179,"_180":-5},"{\"value\":427.0,\"unit\":\"GRAMS\"}",{"_175":263,"_152":342,"_178":265,"_180":424},{"_183":425},[426],{"_21":346,"_108":347},{"_175":272,"_152":428,"_178":179,"_180":-5},"{\"type\":\"root\",\"children\":[{\"type\":\"paragraph\",\"children\":[{\"type\":\"text\",\"value\":\"Dans ce magnifique livre d’entretien, enrichi d’images et d’archives familiales, FLORE se dévoile avec une sincérité rare dans une conversation avec Christian Caujolle.\"}]}]}",{"_183":430},[431,433,434],{"_108":432,"_53":416},"flore",{"_108":279,"_53":54},{"_108":186,"_53":187},{"_129":98,"_130":-5,"_21":379,"_35":436,"_142":437,"_102":438,"_149":439,"_153":388,"_53":126,"_154":-5,"_155":441},{"_133":134,"_21":381,"_29":382,"_137":-5,"_138":218,"_140":219},{"_144":384,"_146":147},{"_53":370,"_108":371},[440],{"_23":122,"_152":126},[-5],[],{"_25":-5,"_53":-5},{"_21":445,"_53":446,"_106":24,"_108":447,"_110":448,"_25":449,"_112":113,"_114":113,"_116":117,"_118":111,"_119":450,"_158":466,"_165":486,"_167":487,"_155":490,"_181":509,"_188":515,"_196":522,"_198":523},"gid://shopify/Product/10070379987208","Belonging","belonging-l-munem-wasif","

Belonging résonne comme un écho du vieux Dhaka (Bangladesh), offrant un regard nostalgique sur cette ville ancrée dans la tradition bangladaise. Doucement, profondément, les photographies noir et blanc de Munem Wasif dévoilent des vies teintées tant par les années et la mémoire que par le mouvement perpétuel de la vie quotidienne.

C’est le regard d’un photographe fidèle à son pays qui réfléchit l’émotion de ce vieux Dhaka qui a déjà fait rêver plus d’un photographe. Pendant dix années, Munem Wasif a parcouru ses ruelles, les berges, les échoppes, poussant des portes pour y lire l’histoire d’une famille ou d’un homme seul : dix années nécessaires pour tirer dans un livre, l’essence de cet esprit qui caractérise le vieux Dhaka.

La postface signée Christian Caujolle, retrace le parcours de l'artiste ainsi que son chemin thématique, toujours très attaché à son pays natal.

","Belonging résonne comme un écho du vieux Dhaka (Bangladesh), offrant un regard nostalgique sur cette ville ancrée dans la tradition bangladaise. Doucement, profondément, les photographies noir et blanc de Munem Wasif dévoilent des vies teintées tant par les années et la mémoire que par le mouvement perpétuel de la vie quotidienne. C’est le regard d’un photographe fidèle à son pays qui réfléchit l’émotion de ce vieux Dhaka qui a déjà fait rêver plus d’un photographe. Pendant dix années, Munem Wasif a parcouru ses ruelles, les berges, les échoppes, poussant des portes pour y lire l’histoire d’une famille ou d’un homme seul : dix années nécessaires pour tirer dans un livre, l’essence de cet esprit qui caractérise le vieux Dhaka. La postface signée Christian Caujolle, retrace le parcours de l'artiste ainsi que son chemin thématique, toujours très attaché à son pays natal.",[451],{"_23":122,"_123":452},[453],{"_23":126,"_127":454,"_157":-5},{"_129":98,"_130":-5,"_21":455,"_35":456,"_142":459,"_102":461,"_149":462,"_153":464,"_53":126,"_154":-5,"_155":465},"gid://shopify/ProductVariant/50995182829832",{"_133":134,"_21":457,"_29":458,"_137":-5,"_138":218,"_140":219},"gid://shopify/ProductImage/64256082149640","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_munemwasif_belonging_main_9bdabadc-08ec-4508-8d6a-3408530b5027.png?v=1748100765",{"_144":460,"_146":147},"36.0",{"_53":446,"_108":447},[463],{"_23":122,"_152":126},"SKU-WASIF-BELONGING-36",[-5],{"_160":467},[468,470,474,478,482],{"_163":469},{"_21":457,"_29":458,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},{"_163":471},{"_21":472,"_29":473,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256082542856","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_munemwasif_belonging_hover_94d5fcd7-d2bf-4968-94f0-1b8e2f1370cb.png?v=1748100765",{"_163":475},{"_21":476,"_29":477,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256082641160","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_munemwasif_belonging_alternate02-1_db7d0dfc-111b-4013-847b-70d26fecaa5e.jpg?v=1748100765",{"_163":479},{"_21":480,"_29":481,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256082477320","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_munemwasif_belonging_alternate01_ad1ef6fe-3fba-4082-9da9-181589ac589f.jpg?v=1748100765",{"_163":483},{"_21":484,"_29":485,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256082411784","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_munemwasif_belonging_alternate02_dfccd8b0-1466-4969-9852-bd584b0e0ad3.jpg?v=1748100763",{"_21":457,"_137":-5,"_140":219,"_29":458,"_138":218},{"_169":488,"_171":489},{"_144":460,"_146":147},{"_144":460,"_146":147},[491,493,495,497,-5,499,505,507],{"_175":176,"_152":492,"_178":179,"_180":-5},"Munem Wasif",{"_175":254,"_152":494,"_178":179,"_180":-5},"[{\"value\":22.5,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":17.5,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":2.3,\"unit\":\"CENTIMETERS\"}]",{"_175":257,"_152":496,"_178":179,"_180":-5},"160",{"_175":260,"_152":498,"_178":179,"_180":-5},"{\"value\":680.0,\"unit\":\"GRAMS\"}",{"_175":263,"_152":500,"_178":265,"_180":501},"[\"gid://shopify/Metaobject/164291117320\",\"gid://shopify/Metaobject/164334076168\"]",{"_183":502},[503,504],{"_21":346,"_108":347},{"_21":269,"_108":270},{"_175":349,"_152":506,"_178":179,"_180":-5},"Christian Caujolle",{"_175":272,"_152":508,"_178":179,"_180":-5},"{\"type\":\"root\",\"children\":[{\"type\":\"paragraph\",\"children\":[{\"type\":\"text\",\"value\":\"Munem Wasif explore, en noir et blanc, les rues de Dhaka qu’il connaît intimement, de jour comme de nuit. Il y entraîne le regard du spectateur, le perdant dans un dédale à taille humaine mais profondément labyrinthique, où seuls les initiés savent y vagabonder.\"}]}]}",{"_183":510},[511,512,513],{"_108":279,"_53":54},{"_108":186,"_53":187},{"_108":514,"_53":492},"munem-wasif",{"_129":98,"_130":-5,"_21":455,"_35":516,"_142":517,"_102":518,"_149":519,"_153":464,"_53":126,"_154":-5,"_155":521},{"_133":134,"_21":457,"_29":458,"_137":-5,"_138":218,"_140":219},{"_144":460,"_146":147},{"_53":446,"_108":447},[520],{"_23":122,"_152":126},[-5],[],{"_25":-5,"_53":-5},{"_21":525,"_53":526,"_106":527,"_108":528,"_110":529,"_25":530,"_112":113,"_114":113,"_116":117,"_118":111,"_119":531,"_158":547,"_165":567,"_167":568,"_155":571,"_181":587,"_188":593,"_196":600,"_198":601},"gid://shopify/Product/10070365012232","Asmara Dream","Maison CF / Filigranes","asmara-marco-barbon","

« Asmara vit, pour ainsi dire, un triple rêve. Tout d’abord le rêve des colons italiens qui arrivèrent ici à la fin du XIXe siècle avec l’intention de bâtir, en Afrique, une nouvelle Rome. Puis celui de l’indépendance vis-à-vis de l’Éthiopie : un rêve devenu réalité en 1992, après nombreuses années d’affrontements courageux et sacrifices de vies humaines. Enfin l’espoir de ceux qui, confrontés aux difficultés de la situation actuelle, cherchent à tout prix à quitter le pays, s’imaginant un avenir meilleur au-delà de ses frontières. Ces trois rêves, en s’entremêlant, ont tissé et continuent à tisser le destin de cette ville ; ils ont nourri et continuent à en nourrir l’âme. », Marco Barbon

","« Asmara vit, pour ainsi dire, un triple rêve. Tout d’abord le rêve des colons italiens qui arrivèrent ici à la fin du XIXe siècle avec l’intention de bâtir, en Afrique, une nouvelle Rome. Puis celui de l’indépendance vis-à-vis de l’Éthiopie : un rêve devenu réalité en 1992, après nombreuses années d’affrontements courageux et sacrifices de vies humaines. Enfin l’espoir de ceux qui, confrontés aux difficultés de la situation actuelle, cherchent à tout prix à quitter le pays, s’imaginant un avenir meilleur au-delà de ses frontières. Ces trois rêves, en s’entremêlant, ont tissé et continuent à tisser le destin de cette ville ; ils ont nourri et continuent à en nourrir l’âme. », Marco Barbon",[532],{"_23":122,"_123":533},[534],{"_23":126,"_127":535,"_157":-5},{"_129":98,"_130":-5,"_21":536,"_35":537,"_142":540,"_102":542,"_149":543,"_153":545,"_53":126,"_154":-5,"_155":546},"gid://shopify/ProductVariant/50995015418120",{"_133":134,"_21":538,"_29":539,"_137":-5,"_138":218,"_140":219},"gid://shopify/ProductImage/64256235634952","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_marcobarbon_asmaradream_main_95a88bb5-e48a-428c-8e7e-1fd444f7b3ff.png?v=1748101020",{"_144":541,"_146":147},"30.0",{"_53":526,"_108":528},[544],{"_23":122,"_152":126},"SKU-BARBON-ASMARA-30",[-5],{"_160":548},[549,551,555,559,563],{"_163":550},{"_21":538,"_29":539,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},{"_163":552},{"_21":553,"_29":554,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256235208968","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_marcobarbon_asmaradream__hover_e2077add-3211-40b9-8819-edb7136f6632.png?v=1748101020",{"_163":556},{"_21":557,"_29":558,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256234946824","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_marcobarbon_asmaradream_alternate01_610d821f-5674-49f2-a3b3-5b6501ea112c.jpg?v=1748101020",{"_163":560},{"_21":561,"_29":562,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256235438344","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_marcobarbon_asmaradream_alternate03_46a10af8-c4b2-4a80-8e5f-dd17f40dcca3.jpg?v=1748101020",{"_163":564},{"_21":565,"_29":566,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256235274504","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_marcobarbon_asmaradream_alternate02_976f1da4-4999-49e2-8f82-215012e82311.jpg?v=1748101020",{"_21":538,"_137":-5,"_140":219,"_29":539,"_138":218},{"_169":569,"_171":570},{"_144":541,"_146":147},{"_144":541,"_146":147},[572,574,576,578,-5,580,-5,585],{"_175":176,"_152":573,"_178":179,"_180":-5},"Marco Barbon",{"_175":254,"_152":575,"_178":179,"_180":-5},"[{\"value\":22.7,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":22.5,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":1.8,\"unit\":\"CENTIMETERS\"}]",{"_175":257,"_152":577,"_178":179,"_180":-5},"72",{"_175":260,"_152":579,"_178":179,"_180":-5},"{\"value\":464.0,\"unit\":\"GRAMS\"}",{"_175":263,"_152":500,"_178":265,"_180":581},{"_183":582},[583,584],{"_21":346,"_108":347},{"_21":269,"_108":270},{"_175":272,"_152":586,"_178":179,"_180":-5},"{\"type\":\"root\",\"children\":[{\"type\":\"paragraph\",\"children\":[{\"type\":\"text\",\"value\":\"Le temps suspendu d’Asmara, à travers les Polaroid de Marco Barbon, se dévoile dans une nouvelle édition de l’ouvrage. Entre passé colonial et présent figé, ce volume retrace les pas d’une ville tiraillée entre trois rêves.\"}]}]}",{"_183":588},[589,591,592],{"_108":590,"_53":573},"marco-barbon",{"_108":279,"_53":54},{"_108":186,"_53":187},{"_129":98,"_130":-5,"_21":536,"_35":594,"_142":595,"_102":596,"_149":597,"_153":545,"_53":126,"_154":-5,"_155":599},{"_133":134,"_21":538,"_29":539,"_137":-5,"_138":218,"_140":219},{"_144":541,"_146":147},{"_53":526,"_108":528},[598],{"_23":122,"_152":126},[-5],[],{"_25":-5,"_53":-5},{"_21":603,"_53":604,"_106":24,"_108":605,"_110":606,"_25":607,"_112":113,"_114":113,"_116":117,"_118":111,"_119":608,"_158":624,"_165":644,"_167":645,"_155":648,"_181":666,"_188":672,"_196":679,"_198":680},"gid://shopify/Product/10070362325256","Consonances","presences-adrien-boyer-copie","

« Ce que je photographie n’a en soi aucun intérêt. Il n’y a pas de sujet préexistant dans mes images. C’est la relation entre les choses qui m’intéresse. Au-delà de simples correspondances ou même de résonances, le mot consonance renvoie à l’idée que les éléments non seulement se répondent mais prennent leur sens les uns vis-à-vis des autres. Alors même que je ne suis pas musicien, j’ai souvent l’impression de composer une musique avec toutes les « notes », aussi bien formelles que conceptuelles, qui se trouvent à un moment donné dans mon champ visuel. Soudain tout devient nécessaire, et le chaos sonne juste. », Adrien Boyer

","« Ce que je photographie n’a en soi aucun intérêt. Il n’y a pas de sujet préexistant dans mes images. C’est la relation entre les choses qui m’intéresse. Au-delà de simples correspondances ou même de résonances, le mot consonance renvoie à l’idée que les éléments non seulement se répondent mais prennent leur sens les uns vis-à-vis des autres. Alors même que je ne suis pas musicien, j’ai souvent l’impression de composer une musique avec toutes les « notes », aussi bien formelles que conceptuelles, qui se trouvent à un moment donné dans mon champ visuel. Soudain tout devient nécessaire, et le chaos sonne juste. », Adrien Boyer",[609],{"_23":122,"_123":610},[611],{"_23":126,"_127":612,"_157":-5},{"_129":98,"_130":-5,"_21":613,"_35":614,"_142":617,"_102":619,"_149":620,"_153":622,"_53":126,"_154":-5,"_155":623},"gid://shopify/ProductVariant/50994982387976",{"_133":134,"_21":615,"_29":616,"_137":-5,"_138":218,"_140":219},"gid://shopify/ProductImage/64256244351240","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_adrienboyer_consonances_main_acfb3c7f-855a-4f64-a6d0-912f7f4ff0d1.png?v=1748101058",{"_144":618,"_146":147},"40.0",{"_53":604,"_108":605},[621],{"_23":122,"_152":126},"SKU-BOYER-CONSONANCES-40",[-5],{"_160":625},[626,628,632,636,640],{"_163":627},{"_21":615,"_29":616,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},{"_163":629},{"_21":630,"_29":631,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256244678920","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_adrienboyer_consonances_hover_6c7e2ce5-55a3-4d3b-ad01-1ac4535c0a8c.png?v=1748101058",{"_163":633},{"_21":634,"_29":635,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256244187400","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_adrienboyer_consonances_alternate03_b91d17af-2f02-4796-8853-33a97ab728cc.jpg?v=1748101058",{"_163":637},{"_21":638,"_29":639,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256244252936","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_adrienboyer_consonances_alternate02_89986763-6894-48cb-b357-51a13b165737.jpg?v=1748101058",{"_163":641},{"_21":642,"_29":643,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256244515080","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_adrienboyer_consonances_alternat01_2e192326-6ef1-4bdf-9b50-52fc93a5c2e0.jpg?v=1748101058",{"_21":615,"_137":-5,"_140":219,"_29":616,"_138":218},{"_169":646,"_171":647},{"_144":618,"_146":147},{"_144":618,"_146":147},[649,651,653,655,-5,657,662,664],{"_175":176,"_152":650,"_178":179,"_180":-5},"Adrien Boyer",{"_175":254,"_152":652,"_178":179,"_180":-5},"[{\"value\":28.8,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":31.2,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":1.3,\"unit\":\"CENTIMETERS\"}]",{"_175":257,"_152":654,"_178":179,"_180":-5},"64",{"_175":260,"_152":656,"_178":179,"_180":-5},"{\"value\":800.0,\"unit\":\"GRAMS\"}",{"_175":263,"_152":500,"_178":265,"_180":658},{"_183":659},[660,661],{"_21":346,"_108":347},{"_21":269,"_108":270},{"_175":349,"_152":663,"_178":179,"_180":-5},"Michel Poivert",{"_175":272,"_152":665,"_178":179,"_180":-5},"{\"type\":\"root\",\"children\":[{\"type\":\"paragraph\",\"children\":[{\"type\":\"text\",\"value\":\"Premier opus du photographe Adrien Boyer, cette collection d’une trentaine d’images est accompagnée d’un texte de Michel Poivert.\\n\\nAdrien Boyer travaille en couleur, et recrée sans aucun autre artifice que le cadre de son appareil photographique, des tableaux photographiques.\"}]}]}",{"_183":667},[668,670,671],{"_108":669,"_53":650},"adrien-boyer",{"_108":279,"_53":54},{"_108":186,"_53":187},{"_129":98,"_130":-5,"_21":613,"_35":673,"_142":674,"_102":675,"_149":676,"_153":622,"_53":126,"_154":-5,"_155":678},{"_133":134,"_21":615,"_29":616,"_137":-5,"_138":218,"_140":219},{"_144":618,"_146":147},{"_53":604,"_108":605},[677],{"_23":122,"_152":126},[-5],[],{"_25":-5,"_53":-5},{"_21":682,"_53":683,"_106":684,"_108":685,"_110":686,"_25":687,"_112":688,"_114":688,"_116":117,"_118":111,"_119":689,"_158":718,"_165":730,"_167":731,"_155":734,"_181":752,"_188":758,"_196":765,"_198":773},"gid://shopify/Product/10069930541320","Stories. Le Portfolio 1947-1987 | Catalogue de l’exposition LUMA","Maison CF / RRB Photobooks","james-barnor-stories-le-portfolio-1947-1987-catalogue-de-l-exposition-luma","

Produit à l’occasion de l’exposition James Barnor: Stories. Le portfolio 1947-1987 présenté en 2022 à la fondation LUMA dans le cadre des Rencontres d’Arles, l’ouvrage offre un regard kaléidoscopique sur l’œuvre du photographe ghanéen. D’Accra à Londres et de Londres à Accra, de la fin de l’époque coloniale au début des années 1980, des portraits de studio aux commandes de presse, le lecteur entre dans les coulisses de ses images les plus célèbres, tout en explorant des aspects plus confidentiels de cette archive exceptionnelle.

Cette exposition est la première rétrospective en France de ce photographe qui continue à inspirer, à près de 96 ans, des générations d’artistes contemporains et dont l’œuvre est aujourd’hui présente dans les plus grandes collections internationales.

James Barnor (1929-) ouvre son premier studio photographique à Accra (Ghana) en 1949. Actif également pour la presse, il photographie le mouvement qui mène le pays à son indépendance en 1957. Installé en Angleterre de 1959 à 1969, il documente l’expérience de la diaspora dans le Swinging London des sixties. Il se forme à la photographie couleur, puis revient au Ghana en 1970 pour y diffuser cette technique. En 2021, la Serpentine Gallery (Londres) lui a dédié une importance rétrospective.

Textes de Damarice Amao, Matthieu Humery, Margaux Lavernhe, Bianca Manu, Hans Ulrich Obrist, Isabella Seniuta.

Photographies de James Barnor, Delali Cofie, Liz Johnson Artur, Lebohang Kganye, Tyler Mitchell, Silvia Rosi, Stephen Tayo.

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Actif également pour la presse, il photographie le mouvement qui mène le pays à son indépendance en 1957. Installé en Angleterre de 1959 à 1969, il documente l’expérience de la diaspora dans le Swinging London des sixties. Il se forme à la photographie couleur, puis revient au Ghana en 1970 pour y diffuser cette technique. En 2021, la Serpentine Gallery (Londres) lui a dédié une importance rétrospective. 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Depuis une vingtaine d’années, Florence et Damien Bachelot ont acquis plus de 1000 photographies. Les choix de ces deux amateurs avertis privilégient, dans un premier temps, des clichés réalisés par des photographes humanistes français, à l’instar de Brassaï, Doisneau, Cartier-Bresson…, puis se portent sur la création plus contemporaine avec des œuvres de Stéphane Couturier, Thibaut Cuisset, Luc Delahaye, Véronique Ellena, Adrien Boyer, Guillaume Zuili… Leur collection s’enrichit très vite d’images de grands noms de la photographie américaine, tels que Lewis Hine, Sid Grossman, Robert Frank, Ernst Haas, Bruce Davidson, Nan Goldin, Saul Leiter,… ou anglaise, notamment Paul Graham, avec comme ligne directrice l’acquisition exclusive de tirages d’époque.

Un double regard sur l’homme dans son environnement citadin. Par leur intérêt pour le réel, l’urbain, son évolution et sa complexité, une partie importante de leur collection s’attache à une réflexion sur la place de l’homme dans la société et dans la ville. Il s’agit souvent d’images qui s’organisent autour des métropoles, de l’architecture, de la marche dans la rue et de la perception de l’espace moderne. Ce livre a été publié à l’occasion de l’exposition « Des villes et des hommes, regard sur la collection Florence et Damien Bachelot », exposition réalisée sous le commissariat de Françoise Docquiert (directrice adjointe du Département Arts plastiques et Sciences de l’art à l’Université Paris 1 Panthéon, curatrice indépendante) et Ricardo Vazquez (conservateur en chef du Patrimoine, Directeur de l’HDA Var, centre d’art du Département du Var) en avril 2022.
Texte de Douglas Kennedy.

","Depuis une vingtaine d’années, Florence et Damien Bachelot ont acquis plus de 1000 photographies. Les choix de ces deux amateurs avertis privilégient, dans un premier temps, des clichés réalisés par des photographes humanistes français, à l’instar de Brassaï, Doisneau, Cartier-Bresson…, puis se portent sur la création plus contemporaine avec des œuvres de Stéphane Couturier, Thibaut Cuisset, Luc Delahaye, Véronique Ellena, Adrien Boyer, Guillaume Zuili… Leur collection s’enrichit très vite d’images de grands noms de la photographie américaine, tels que Lewis Hine, Sid Grossman, Robert Frank, Ernst Haas, Bruce Davidson, Nan Goldin, Saul Leiter,… ou anglaise, notamment Paul Graham, avec comme ligne directrice l’acquisition exclusive de tirages d’époque.Un double regard sur l’homme dans son environnement citadin. 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« Née dans l’Idaho en 1960, l’artiste américaine a consacré à son État natal un ouvrage reprenant des photographies prises de 1988 à 2019. Travaillant en noir et blanc au format 40×50, Anne Rearick rappelle la geste d’une Amérique pionnière, éprise de grands espaces et de liberté fondamentale. Une Amérique qu’incarne sa famille sur plusieurs générations, représentée ici notamment par son grand-père, grand séducteur, présence immédiate d’acteur irrésistible.

True West, qu’accompagne le texte manuscrit de son auteure, à la façon de pages extraites d’un journal intime, commence par le rappel d’un héritage : des tombes en bordure de route, une église sans porte comme un décor, la poussière du départ. […] Maintenir le sauvage dans le civilisé, telle pourrait être la formule poétique d’Anne Rearick. »
Fabien Ribery, L’Intervalle, 15 novembre 2019

Anne Rearick est née aux États-Unis en 1960. Elle s’inscrit dans la grande tradition des photographes documentaires humanistes tels que Dorothea Lange ou Diane Arbus. Elle travaille au long cours, plongeant dans le quotidien de ses sujets aussi loin qu’ils l’autorisent. La beauté de ses images s’accorde avec le noir et blanc argentique, et le format large et carré du 6 x 6 de son appareil Hasselblad lui permet de restituer d’infimes détails : la façon dont la peau ressort, la trame de fond d’un paysage…

Ces éléments forment les composants de tableaux qui deviennent impossibles à dater, empreints d’une poésie permanente à l’émotion universelle. Du pays basque au Kazakhstan, Anne Rearick pose régulièrement ses valises pour photographier avant tout ce qui la touche. Représentée par l'agence VU' depuis 1992, elle est publiée dans les grands magazines internationaux et enseigne la photographie et l’histoire du cinéma aux USA.

","« Née dans l’Idaho en 1960, l’artiste américaine a consacré à son État natal un ouvrage reprenant des photographies prises de 1988 à 2019. Travaillant en noir et blanc au format 40×50, Anne Rearick rappelle la geste d’une Amérique pionnière, éprise de grands espaces et de liberté fondamentale. Une Amérique qu’incarne sa famille sur plusieurs générations, représentée ici notamment par son grand-père, grand séducteur, présence immédiate d’acteur irrésistible.True West, qu’accompagne le texte manuscrit de son auteure, à la façon de pages extraites d’un journal intime, commence par le rappel d’un héritage : des tombes en bordure de route, une église sans porte comme un décor, la poussière du départ. […] Maintenir le sauvage dans le civilisé, telle pourrait être la formule poétique d’Anne Rearick. »Fabien Ribery, L’Intervalle, 15 novembre 2019Anne Rearick est née aux États-Unis en 1960. Elle s’inscrit dans la grande tradition des photographes documentaires humanistes tels que Dorothea Lange ou Diane Arbus. Elle travaille au long cours, plongeant dans le quotidien de ses sujets aussi loin qu’ils l’autorisent. La beauté de ses images s’accorde avec le noir et blanc argentique, et le format large et carré du 6 x 6 de son appareil Hasselblad lui permet de restituer d’infimes détails : la façon dont la peau ressort, la trame de fond d’un paysage…Ces éléments forment les composants de tableaux qui deviennent impossibles à dater, empreints d’une poésie permanente à l’émotion universelle. Du pays basque au Kazakhstan, Anne Rearick pose régulièrement ses valises pour photographier avant tout ce qui la touche. Représentée par l'agence VU' depuis 1992, elle est publiée dans les grands magazines internationaux et enseigne la photographie et l’histoire du cinéma aux USA.",[860],{"_23":122,"_123":861},[862],{"_23":126,"_127":863,"_157":-5},{"_129":98,"_130":-5,"_21":864,"_35":865,"_142":868,"_102":870,"_149":871,"_153":873,"_53":126,"_154":-5,"_155":874},"gid://shopify/ProductVariant/50994743378184",{"_133":134,"_21":866,"_29":867,"_137":-5,"_138":218,"_140":219},"gid://shopify/ProductImage/64256326467848","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_annerearick_truewest_main_88f56f7c-287c-4925-ada3-4011b80fcb72.png?v=1748101255",{"_144":869,"_146":147},"39.0",{"_53":855,"_108":856},[872],{"_23":122,"_152":126},"SKU-REARICK-TRUEWEST-39",[-5],{"_160":876},[877,879,883,887,891],{"_163":878},{"_21":866,"_29":867,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},{"_163":880},{"_21":881,"_29":882,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256326435080","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_annerearick_truewest_hover_23753b05-008b-41fc-b2ec-5c0247770bd5.png?v=1748101255",{"_163":884},{"_21":885,"_29":886,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256326336776","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_annerearick_truewest_alternate02-1_dc55bf96-0844-489e-bec8-2c52eb7003d8.jpg?v=1748101255",{"_163":888},{"_21":889,"_29":890,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256326304008","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_annerearick_truewest_alternate02_a8b01b94-3086-421e-8070-fe5067b90f5e.jpg?v=1748101255",{"_163":892},{"_21":893,"_29":894,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256326402312","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_annerearick_truewest_alternate01_bfa40036-ba59-4722-b828-d08efcef9a6f.jpg?v=1748101255",{"_21":866,"_137":-5,"_140":219,"_29":867,"_138":218},{"_169":897,"_171":898},{"_144":869,"_146":147},{"_144":869,"_146":147},[900,902,904,906,-5,908,912,913],{"_175":176,"_152":901,"_178":179,"_180":-5},"Anne Rearick",{"_175":254,"_152":903,"_178":179,"_180":-5},"[{\"value\":24.8,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":21.7,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":2.1,\"unit\":\"CENTIMETERS\"}]",{"_175":257,"_152":905,"_178":179,"_180":-5},"144",{"_175":260,"_152":907,"_178":179,"_180":-5},"{\"value\":804.0,\"unit\":\"GRAMS\"}",{"_175":263,"_152":264,"_178":265,"_180":909},{"_183":910},[911],{"_21":269,"_108":270},{"_175":349,"_152":901,"_178":179,"_180":-5},{"_175":272,"_152":914,"_178":179,"_180":-5},"{\"type\":\"root\",\"children\":[{\"type\":\"paragraph\",\"children\":[{\"type\":\"text\",\"value\":\"« Il y a presque un siècle, mon arrière-grand-mère, Maggie May Jones a quitté l’Oklahoma, pour Boise en Idaho avec mari et enfants, dans une roulotte qui contenait la plupart de leurs biens. La tête pleine de rêves. Trois générations plus tard, je naquis. Les souvenirs des étés passés auprès de mon grand-père dans l’Idaho sont les plus forts de mon enfance. 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Certains arrivent à briller grâce à leurs existences minuscules. Certains gestes gracieux captivent nos cœurs, car esquissés en toute discrétion. L'Homme a forgé l'esprit noble au fil du temps et cela a fait évoluer notre société. À l'heure actuelle, cet héritage est sur le point de disparaître face aux désirs humains qui ne connaissent plus ses limites. Même l'art, censé refléter l'état de l'âme, risque de lâcher prise de l'esthétique et la maîtrise de soi face à l'engouement des multiples choix sans principe rendus possible par les dernières technologies.

Cependant, à un tel tournant des valeurs, le récit d'un pays est né, en trente-deux photographies soigneusement sélectionnées qui ne cessera jamais d'être raconté. Un instant, un espace capturés par un geste discret, seul un petit appareil photo qui se tient dans la paume de la main a été capable de le réaliser. Le passé, le présent et le futur du pays sont représentés dans ces images. Situé sur la côte d'Azur, Monaco est le deuxième plus petit pays du monde.

Mikiya Takimoto a appuyé sur le bouton de l'appareil avec sérénité comme dans une prière. À travers la succession des paysages, apparait un message, me semble-t-il, qui dirait comment affronter ce monde et sauvegarder cette belle planète.
Partagerez-vous ce sentiment avec moi ?

Naoko Bernadette Ohta

","Certains arrivent à briller grâce à leurs existences minuscules. Certains gestes gracieux captivent nos cœurs, car esquissés en toute discrétion. L'Homme a forgé l'esprit noble au fil du temps et cela a fait évoluer notre société. À l'heure actuelle, cet héritage est sur le point de disparaître face aux désirs humains qui ne connaissent plus ses limites. Même l'art, censé refléter l'état de l'âme, risque de lâcher prise de l'esthétique et la maîtrise de soi face à l'engouement des multiples choix sans principe rendus possible par les dernières technologies.Cependant, à un tel tournant des valeurs, le récit d'un pays est né, en trente-deux photographies soigneusement sélectionnées qui ne cessera jamais d'être raconté. Un instant, un espace capturés par un geste discret, seul un petit appareil photo qui se tient dans la paume de la main a été capable de le réaliser. Le passé, le présent et le futur du pays sont représentés dans ces images. Situé sur la côte d'Azur, Monaco est le deuxième plus petit pays du monde.Mikiya Takimoto a appuyé sur le bouton de l'appareil avec sérénité comme dans une prière. À travers la succession des paysages, apparait un message, me semble-t-il, qui dirait comment affronter ce monde et sauvegarder cette belle planète.Partagerez-vous ce sentiment avec moi ? Naoko Bernadette Ohta",[938],{"_23":122,"_123":939},[940],{"_23":126,"_127":941,"_157":-5},{"_129":98,"_130":-5,"_21":942,"_35":943,"_142":946,"_102":947,"_149":948,"_153":950,"_53":126,"_154":-5,"_155":951},"gid://shopify/ProductVariant/50993286611208",{"_133":134,"_21":944,"_29":945,"_137":-5,"_138":218,"_140":219},"gid://shopify/ProductImage/64256496075016","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_mikiyatakimoto_monaco_main_2e5555ac-b003-48f6-a1ec-e8709c16701e.png?v=1748101517",{"_144":541,"_146":147},{"_53":932,"_108":934},[949],{"_23":122,"_152":126},"SKU-TAKIMOTO-MONACO-30",[-5],{"_160":953},[954,956,960,964],{"_163":955},{"_21":944,"_29":945,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},{"_163":957},{"_21":958,"_29":959,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256495517960","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_mikiyatakimoto_monaco_hover_ee9da274-db50-4132-9c76-46a241a6f4cf.png?v=1748101517",{"_163":961},{"_21":962,"_29":963,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256495354120","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_mikiyatakimoto_monaco_alternate02_f3185495-ab21-4473-9902-895d77c19c3f.jpg?v=1748101517",{"_163":965},{"_21":966,"_29":967,"_137":-5,"_140":219,"_138":218},"gid://shopify/ProductImage/64256495550728","https://cdn.shopify.com/s/files/1/0932/5471/3608/files/maisoncf_mikiyatakimoto_monaco_alternate01_1499c309-32d8-49d5-b339-a988ff91ed99.jpg?v=1748101517",{"_21":944,"_137":-5,"_140":219,"_29":945,"_138":218},{"_169":970,"_171":971},{"_144":541,"_146":147},{"_144":541,"_146":147},[973,975,977,979,-5,981,987,989],{"_175":176,"_152":974,"_178":179,"_180":-5},"Mikiya Takimoto",{"_175":254,"_152":976,"_178":179,"_180":-5},"[{\"value\":20.2,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":15.2,\"unit\":\"CENTIMETERS\"},{\"value\":1.2,\"unit\":\"CENTIMETERS\"}]",{"_175":257,"_152":978,"_178":179,"_180":-5},"44",{"_175":260,"_152":980,"_178":179,"_180":-5},"{\"value\":241.0,\"unit\":\"GRAMS\"}",{"_175":263,"_152":982,"_178":265,"_180":983},"[\"gid://shopify/Metaobject/164334076168\",\"gid://shopify/Metaobject/164291117320\"]",{"_183":984},[985,986],{"_21":269,"_108":270},{"_21":346,"_108":347},{"_175":349,"_152":988,"_178":179,"_180":-5},"Prince Albert II de Monaco, Naoko Bernadette Ohta",{"_175":272,"_152":990,"_178":179,"_180":-5},"{\"type\":\"root\",\"children\":[{\"type\":\"paragraph\",\"children\":[{\"type\":\"text\",\"value\":\"« La Principauté de Monaco est depuis longtemps un site particulièrement apprécié des photographes. Elle allie un patrimoine urbain historique et une architecture très moderne. La lumière des rives de la Méditerranée donne une ambiance particulière aux prises de vue.\\nC'est pourquoi je salue l'exposition des photographies de M. Mikiya Takimoto, qui reflètent parfaitement ce qu'est notre territoire : une terre de contrastes, baignée de soleil.\\n Je lui souhaite tout le succès qu'il mérite et je remercie tous ceux qui ont participé à ce projet. »\\n- Prince Albert II de Monaco\"}]}]}",{"_183":992},[993,994,995],{"_108":279,"_53":54},{"_108":186,"_53":187},{"_108":996,"_53":974},"mikiya-takimoto",{"_129":98,"_130":-5,"_21":942,"_35":998,"_142":999,"_102":1000,"_149":1001,"_153":950,"_53":126,"_154":-5,"_155":1003},{"_133":134,"_21":944,"_29":945,"_137":-5,"_138":218,"_140":219},{"_144":541,"_146":147},{"_53":932,"_108":934},[1002],{"_23":122,"_152":126},[-5],[],{"_25":-5,"_53":-5},"actionData","errors"]